La biorégion et sa radicalité d’écologie politique

La crise sanitaire a, encore une fois, révélé le caractère écocidaire de notre civilisation urbaine par l’insoutenabilité des villes métropolisées et de leurs modes de vie contre nature. Les architectes et urbanistes, accompagnés en cela de la quasi-totalité des chercheur·e·s en géographie, en sociologie ou encore en science politique, tentent de trouver une nouvelle voie.Lire la suite « La biorégion et sa radicalité d’écologie politique »

Séminaire « Communs, Institutions, Territoires »

Guillaume Faburel et Maële Giard, membres du réseau des Territorialistes, organisent un séminaire sur « Communs, Institutions, Territoires ». Questionnant la notion d’intérêt général et les différentes compréhensions des communs émergeant depuis une vingtaine d’années, ce séminaire s’intéressera aux mutations de l’action publique territoriale.

Episode 6 : Habiter les périphéries

Dans les métropoles, la même sky line, les mêmes berges, les mêmes festivals… Cette homogénéité des paysages et des activités nous arrache de la possibilité d’expériences singulières de nos lieux de vie, d’autant plus lorsqu’on se sent « soumis » à des fournaises urbaines. Soumis à cette artificialisation, peut-on encore s’y sentir en résonance au monde ?

Episode 7 : Faire politique autrement

Elections, conseils de quartier, conférences de citoyens, référendums… Quelle créativité pour organiser et distribuer les pouvoirs publics. Comme un sentiment de diversion pour nous éloigner de notre puissance politique et nos désirs fondamentaux d’autogestion. Une tentative échouée au regard de la diversité des manières de faire politique autrement par l’habiter. 

Notre Manifeste

Dans un monde présenté comme le théâtre d’une compétition globale sans merci où seuls réussissent les territoires les plus attractifs, les Métropoles,  nouveaux avatars du progrès moderniste, incarneraient le modèle de développement le plus abouti, conciliant qualité des espaces de vie, exigences de performance, ainsi que rayonnement culturel.

Le monde souhaitable de l’après pandémie est un à-venir déjà là, et bien là !

Le Covid-19 est directement lié à la civilisation urbaine et son dernier artifice : la métropolisation du monde. Elle a rapproché les lieux d’habitation humaine par artificialisation croissante des terres et par destruction des habitats écologiques d’animaux  sauvages. Elle a généralisé les systèmes de flux et de mouvements dits nécessaires à la satisfaction des besoins depuis les lieuxLire la suite « Le monde souhaitable de l’après pandémie est un à-venir déjà là, et bien là ! »

Confinement : en demi-résonance avec notre décroissance

Nous relayons ici un texte de nos complices de la décroissance, à l’écriture duquel quatre d’entre nous ont participé, sous la houlette de Michel Lepesant et Thierry Brulavoine de la Maison commune de la décroissance. En substance, si la pandémie est une nouvelle manifestation de la rébellion du vivant face à l’ensemble de nos exactions, etLire la suite « Confinement : en demi-résonance avec notre décroissance »

L’université rurale des Cévennes

Le réseau des Territorialistes accompagne, depuis sa création en 2017, le collectif « Vallée Longue » (renvoi aux onglets sur les Automnales et l’enquête) dans ses réflexions sur les évolutions des territoires ruraux notamment sous l’effet des changements climatiques et écologiques, ainsi que sur leurs rôles dans des transitions sociales et écologiques par l’accueil d’autres populations, parLire la suite « L’université rurale des Cévennes »