Analyse des alternatives


Biorégion. Pour une écologie politique vivante

Guillaume Faburel, Maële Giard, Raphaël Lhomme
Décembre 2021
Biorégion, Biorégion, Biorégion… voilà ce que serait le nouveau mantra ! Mais, un peu de clairvoyance aiderait. C’est l’objet de ce fascicule du réseau des territorialistes qui, appuyé sur plusieurs expériences et mobilisant des pensées libertaires, écoféministes et anarchistes, propose un tour d’horizon national et international et, sur cette base, soutient la nécessité d’une écologie politique vivante de la Biorégion, relocalisée dans une communauté biotique comme communauté politique par l’autonomie post-urbaine. 

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Les Gilets Jaunes ont une écologie. Elle est populaire… et périphérique

Ewa Chuecos
Mars 2021
Le mouvement des Gilets Jaunes a pu être décrit comme un ensemble hétéroclite, manifestant de manière désordonnée des souffrances, signant une « errance des désespoirs ». Il réunit en fait en majorité des classes populaires, des populations précaires, à ce jour largement invisibilisées. Le mouvement a pu également être hâtivement présenté comme réfractaire à toute écologie, alousant le mode de vie consumériste des classes dites supérieures. Là non plus, il n’en est rien. Mais, en quoi ce mouvement signe-t-il une écologie populaire propre aux périphéries ? Une réponse par enquête auprès de membres du mouvement.

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La biorégion et sa radicalité d’écologie politique

Maële Giard et Guillaume Faburel
Août 2020
La notion de biorégion apparait ce jour dans de plus en plus de discours, d’abord depuis les mondes de la recherche et de la pratique, et dorénavant même dans le champ politique. Cependant, son utilisation détourne et ce faisant affaiblit largement sa portée radicale pourtant initiale. Il semble aussi nécessaire d’affirmer les perspectives d’autonomie, notamment politiques, inséparable de tous projets biorégionalistes.

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Militance au potager

Mathilde Girault
Juillet 2020
Pour cette fois, je voudrais proposer une réflexion d’actualité qui ne fasse pas écho à un événement politique, social, économique, etc., mais s’inscrit dans une réalité plus ordinaire et nous ancre dans un rythme saisonnier et environnemental : l’activité potagère du début d’été. Un parallèle se dessine entre, d’une part, les pratiques et les temporalités potagères de ces jours-ci, de l’autre, une perspective territorialiste sur les réponses à apporter aux crises sanitaire et écologique.

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Le monde souhaitable de l’après pandémie est un à-venir déjà là, et bien là !

Guillaume Faburel et Mathilde Girault
Avril 2020
La Covid-19 est directement liée à la civilisation urbaine et son dernier artifice : la métropolisation du monde qui a rapproché les lieux d’habitation humaine par artificialisation croissante des terres et par destruction des habitats écologiques d’animaux sauvages, qui a généralisé les systèmes de flux et de mouvements dits nécessaires à la satisfaction des besoins depuis les lieux de l’hyperdensité. La maladie s’est ainsi répandue à l’échelle planétaire, devenant pandémie en un temps record par les concentrations métropolitaines et leurs promiscuités, par les circulations interurbaines et leurs densités.

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Confinement en demi-résonnance avec notre décroissance

Collectif d’auteur·e·s
Avril 2020
Nous relayons ici un texte de nos complices de la décroissance, à l’écriture duquel quatre d’entre nous ont participé, sous la houlette de Michel Lepesant et Thierry Brulavoine de la Maison commune de la décroissance. En substance, si la pandémie est une nouvelle manifestation de la rébellion du vivant face à l’ensemble de nos exactions, et le confinement la réponse de la puissance et de son empire pour s’arrêter et, sous peu, recommencer à s’agiter comme avant… cette période est aussi un événement grandeur nature d’une décroissance certes subie mais qui peut bouger quelques lignes… sans fuite.

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Contre la métropole et son monde : la biorégion

Guillaume Faburel et Maële Giard
Octobre 2019

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Université rurale des Cévennes : sens politique d’une nécessité écologique

Guillaume Faburel
Avril 2019
La création d’une Université rurale des Cévennes répond à la nécessité simple de mettre en partage les expériences vécues dans les espaces ruraux. Pourquoi ? Comment ? Par qui ? Sur quoi ?

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De l’occupation de places publiques à la création de nouveaux modes d’engagement habitants dans les territoires urbains

Fabian Lévêque
Janvier 2019
Les espaces publics urbains se retrouvent affectés par les grandes orientations politiques et économiques qui animent les métropoles contemporaines. Ils superposent, sans toujours grande cohérence d’ensemble, des enjeux relatifs à l’urbanisme durable, à la mobilité, à la santé, à la patrimonialisation, à la smart city, etc. elon nous, les espaces publics connaissent, plus que jamais, un mouvement silencieux d’enclosure.

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A ce qu’il reste tranquille il ne faut pas toucher

Thibaud Cavaillès
Février 2018
Le 17 janvier 2018 aux alentours de 13h, le premier ministre annonce lors d’un communiqué de presse exceptionnel l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes : « Les conditions ne sont pas réunies pour mener à bien le projet ». Faut-il crier victoire ? Pas si vite… La bataille de Notre-Dame-des-Landes ne doit pas être une victoire à la Pyrrhus et le chemin est encore long pour parvenir à enraciner l’avenir.

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Synthèse transversale : « Les alternatives comme autres espace-temps de l’engagement »

Etudiants en Master Urbanisme et aménagement, Université Lyon 2
2016
Ce papier présente une réflexion suscitée par les premières journées du réseau des Territorialistes à Lyon (2016) et tout particulièrement par les interventions de collectifs
dits d’alternatives. Ecrit par cinq étudiants en master d’urbanisme et aménagement issus de différentes disciplines (géographie, anthropologie et génie civil), ce papier se présente comme une discussion collective, visant mise en débat des termes « alternative » et « engagement » par une réinscription de leurs acceptions différenciées dans des trajectoires de pensée et de formation, avec quelques divergences dont les encadrés témoignent.

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Il manifesto dei territorialisti, che cos’è? (langue italienne)

Alberto Magnaghi
2012
Alberto Magnaghi tiens une conférence, le 27 avril 2012 à Brescia (Italie). La conférence à été organisée par l’association ‘Ripensare il mondo’ (Repenser le monde).

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